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"Manipulation"
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Rien d'illégal, pourtant, soutient [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] le ministre, invoquant l'article 40 de la Constitution selon lequel une proposition de loi est "irrecevable" [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] si elle induit "l'aggravation d'une charge publique". Nouvelles foudres des élus de gauche. "L'usage de l'article 40 est inédit, une arme de destruction [url=http://www.greenfields-729.com/cgi-bin/honey.cgi/mailto:quaker@yahoo.com]moncler outlet La Tunisie vit[/url] massive contre la démocratie !", s'est indignée la sénatrice du Nord () . "Le [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] problème, monsieur le Ministre, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] c'est que vous avalez difficilement la victoire de la gauche au Sénat", a lancé , sénateur [url=http://anunturigratis.com/item/176962]www.achbanker.com/home.php Quelle politique indust[/url] de Paris (PS).
la scolarité obligatoire à 3 ans - contre 6 ans depuis Jules Ferry. L'une des premières propositions que le groupe socialiste souhaitait par le nouveau Sénat. A [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] 19 h 40, c'était déjà terminé.
Une question se pose : pourquoi une obligation légale de la scolarité à 3 ans, quand on sait qu'entre 97 % et 100 % des enfants sont accueillis en petite section à cet ?ge ? Quand on sait aussi que l'école maternelle est citée comme l'un des points forts de notre système éducatif ? Parce que "la maternelle est aujourd'hui attaquée par les deux bouts : du c?té des 5-6 ans, comme des 2-3 ans, répond Mme Cartron. Il nous faut d'urgence la ." Récemment, les craintes se sont portées sur la grande section. L'élaboration, , d'un protocole d'évaluation très normé, classant les enfants de 5 ans "à risques" ou non, a ravivé [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] "le spectre d'une primarisation" de la maternelle. Si le ministère a depuis fait marche arrière sur le choix très décrié des mots, il a maintenu l'idée d'un repérage précoce des enfants les plus fragiles.
Visé par l'article 40, un amendement de la proposition de loi prévoyant que "tout enfant peut [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] être admis dès l'?ge de 2 ans dans une école maternelle". C'est là une sorte de droit opposable, qui "entra?nerait la scolarisation de 700 000 à 750 000 enfants et une charge de 1,3 milliard d'euros", a calculé M. Chatel. Quelques heures après la fin de la [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] séance, Fran?oise Cartron, sénatrice (PS) de la Gironde, qui avait déposé la proposition de loi en avril, ne décolère pas contre ce "coup de force" : "Notre proposition de loi portait sur l'obligation de la scolarité [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] à 3 ans. Le ministre, lui, a attaqué sur le terrain des 2 ans. Une manipulation pour le coeur de notre projet", affirme cette ancienne directrice d'école. Vidée de sa substance, la proposition de loi a été retirée dans la nuit du 3 au 4 novembre.
Second motif d'inquiétude : la chute de la scolarisation à 2 ans. Fragilisée par les suppressions de postes, la "préscolarisation" est passée, en dix ans, de 34,5 % à 13,6 % en moyenne. Souvent plébiscitée par les parents, elle ne fait pourtant pas consensus ni parmi les politiques, ni [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] au sein de la communauté [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] scientifique : pour certains, elle diminue les chances de redoublement, notamment en CP, pour d'autres, l'école n'est pas adaptée aux enfants de cet ?ge. "Bénéfique, non bénéfique, c'est un débat récurrent qui revient en [url=http://www.9655.org/E_GuestBook.asp]barbour uk[/url] scène tous les quinze ans", rappelle l'historien èvre.
Les discussions sur l'école à 2 ans ne sont pas près d'être tranchées. En revanche, celles sur l'école à 3 ans entendent bien s' dans la campagne présidentielle.
"C'est une dérive qui inquiète beaucoup d'enseignants. On leur demande de en maternelle ce qu'il n'était d'usage d' qu'au CP", rapporte Sébastien Sihr, secrétaire général du SNUipp-FSU, le principal syndicat du premier degré. "On est de plus en plus dans le [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] papier-crayon, et de moins en moins dans le jeu", déplore-t-il.
En entrant dans l'hémicycle, a coupé court : "Le gouvernement considère que la proposition de loi n'est pas recevable et ne peut donc être soumise à discussion", a déclaré le ministre de l'éducation nationale. La suite de son propos s'est fondue dans un brouhaha général mêlant colère et stupéfaction. "Scandaleux, odieux !", se sont écriés les sénateurs.