Guardians of Grail

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Les experts ont noté un effacement massif des données présentes sur les ordinateurs de MM. Lahoud et Gergorin dans la nuit du 24 au 25 avril 2005, soit trois jours avant les premières perquisitions. [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour.co.uk[/url] Un incident auquel l'informaticien ne peut la moindre explication. Accusé par bon nombre d'acteurs du dossier Clearstream d'être à l'origine de la manipulation, poussé dans ses retranchements par les expertises informatiques, M. Lahoud continue pourtant de se défendre : "Je n'ai jamais fait de [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] pénétration informatique, je n'ai jamais remis de document à ni courant 2003 ni courant 2004. [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] (...) Je n'ai pas falsifié les fichiers et je n'ai rajouté aucun nom."
dans une situation difficile. Saisis le 28 avril 2005, lors d'une perquisition [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] dans son bureau, dans les locaux d'EADS à Suresnes (Hauts-de-Seine), les secteurs non alloués des disques durs utilisés par l'informaticien — partiellement effacés — permettent aujourd'hui aux juges d' une certitude : les noms et références bancaires [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] figurant dans les envois anonymes au juge [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] [url=http://www.guofs.com/archives/3996]Some Advantages Of Spinning Articles[/url] Renaud Van Ruymbeke étaient bien présents dans l'ordinateur d'Imad Lahoud.
M. LAHOUD POUSS? DANS SES RETRANCHEMENTS
Ce dernier, bien qu'il s'en défende, est désigné par Jean-Louis Gergorin, ancien responsable d'EADS, comme ayant été celui qui lui avait fourni les listings informatiques falsifiés, où l'on retrouvait le nom, entre autres, de . Une [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]hollister Cinquante ans après[/url] expertise informatique des fichiers saisis dans l'ordinateur de M. Lahoud, remise le 21 mars aux juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, complétée par le rapport d'un assistant spécialisé du p?le financier, révèle en outre les noms de huit personnalités, censées détenir des comptes via Clearstream, mais qui ne figuraient pas sur les listings trafiqués transmis au juge Van Ruymbeke.
Il s'agit de Guillaume Hannezo, associé chez Rotschild et Cie, Denis Olivennes, patron de la FNAC, ou encore du journaliste Bernard Guetta. Pourquoi étaient-ils d?ment enregistrés dans les fichiers informatiques d'Imad Lahoud ? "Il s'agit de noms et de références qui m'ont été donnés par le général Rondot, a indiqué M. Lahoud aux juges, le 3 mai. Le général Rondot me demandait des informations sur toute une série de personnes. La première chose que je faisais en rentrant dans mon bureau était de des [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry outlet[/url] requêtes dans (...) Je regrette que ces traces ne soient pas datées, puisqu'il aurait été très simple de que ces recherches-là ont été effectuées bien après la [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] date des faits."
Le général Rondot pourra s'en , puisqu'il devrait bient?t [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister outlet[/url] être interrogé par les juges. Reste que les experts ont retrouvé sur les disques durs de M. Lahoud bien autre chose que de simples recherches sur Google. Ce sont des listes de noms, avec des noms de banques et des numéros de comptes. Ainsi, pour Guillaume Hannezo et Denis Olivennes, tous deux proches de la gauche, leur nom se trouve accolé aux [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] références du compte numéro 89043 ouvert à la banque Julius Baer. "Ces noms là m'ont été donnés par [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] le général Rondot bien après l'affaire du corbeau, en me demandant de des fiches [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] sur eux", s'est défendu Imad Lahoud.
Les experts ont également noté que trente-neuf des noms dénichés sur les fichiers saisis au bureau d'Imad Lahoud se sont retrouvés, eux, sur les listings falsifiés. Là encore, Imad Lahoud argumente en assurant que le militaire lui avait demandé, à l'été 2004, de des "fiches policières" sur ces personnalités. Les données retrouvées par les experts figurent sur ce que l'on [url=http://lcmdxx.xicp.net/E_GuestBook.asp]hollister[/url] appelle des "clusters non alloués", c'est à des fichiers effacés par Imad Lahoud. Sciemment ou non ? "Je n'ai pas effacé de fichiers de manière délibérée dans mon ordinateur afin de des éléments, a déclaré l'informaticien (...) J'ai installé sur mon ordinateur un effaceur qui sécurise le disque dur en écrasant les données que je renvoyais à la corbeille."