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Il ne faut pas que 75 à 80 % de la production pétrolière du Soudan vient de champs qui sont au sud et ces ressources représentaient 56 % du budget du Nord-Soudan en 2009. Depuis les accords de paix de 2005, les revenus du pétrole sont partagés à égalité entre Khartoum et Juba [la capitale du Sud-Soudan]. Une réduction drastique des revenus pétroliers priverait le Nord-Soudan d'un pourcentage important de son [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] budget.
Outre les négociations économiques et la question de la nationalité soudanaise, quels sont les autres problèmes qu'il reste à négocier entre les deux partis ?
Une a fixé en juillet 2009 les frontières pour délimiter la zone. L'accord a fonctionné quelque temps, et économiquement, c'était avantageux pour Khartoum : les champs pétroliers étaient au Nord-Soudan et la restait au sud. Mais quand il a fallu le référendum, qui était prévu en même temps que celui sur l'indépendance du Sud-Soudan, les désaccords sont devenus plus visibles. Il n'y a pas eu d'accord sur le corps électoral et la zone dans laquelle le référendum devait se .
Si les deux parties avaient une vision plus concrète et réaliste de comment les choses pourraient se en place [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] après l'indépendance du Sud, la tension militaire et la guerre rhétorique pourraient même fin. Il y a une réelle marge de négociation mais il faut des raisonnables et n' personne. Ce n'est absolument pas dans l'intérêt de la communauté internationale d' un Etat au Nord qui du jour au lendemain conna?trait une banqueroute totale.
, les combats ont repris entre l' soudanaise et les forces du Sud-, provoquant le déplacement de plus de 50 000 personnes. A quelques semaines de l'indépendance officielle du Sud, prévue le 9 juillet, Roland Marchal, chargé de recherche au CNRS et spécialiste de la région, estime que Khartoum tente avant tout de se en position de force pour les négociations à , [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%2525255Dfarmville]barbour france paris Moralisa[/url] sur le et la délimitation des frontières.
Depuis janvier, il y a eu une série d'échecs répétés. Ils sont le fruit de stratégie des deux capitales et également d'enjeux locaux, mal ma?trisés. Si les deux Etats étaient un peu plus souples et s'accordaient sur une consolidation des droits de p?turage et la double nationalité aux gens de cette région, cela permettrait de régler l'essentiel des problèmes sur le terrain.
Cela ne va pas avant le 9 juillet. Mais la négociation continue. Il faut bien que nous ne sommes pas encore dans des stratégies de guerre ou d'éradication, mais dans la délimitation de frontières et la négociation. La communauté internationale devrait s' d'avantage sur la question des relations économiques entre les deux pays en offrant elle aussi certaines garanties, et pas seulement des promesses.
Ce que nous voyons en ce moment, à Abyei [à la frontière entre le Nord et le Sud-Soudan] et dans le Sud-Kordofan [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] [un des 25 Etats qui composent le Soudan], correspond d'abord à une volonté de négocier en position [url=http://www.nxxlw.com/wMcms_GuestBook.asp]hollister[/url] de force. Khartoum est prêt à l'indépendance du Sud-Soudan. Ils y sont préparés : les islamistes, dont le actuel est issu, évoquaient [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] cette possibilité dès 1987. Ce n'est donc pas l'indépendance du Sud-Soudan qui est en jeu, mais le partage des ressources qui s'y trouvent, à par [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] le pétrole.
Les combats actuels sont également liés à une deuxième rationalité, [url=http://richard.milewski.org/archives/1014/comment-page-1#comment-186939]Laffaire Cahuzac relance le débat au sein du PS sur la ligne économique[/url] plus perverse : la définition de la nationalité soudanaise. Khartoum joue sur une identification, celle du Mouvement pour la libération du peuple soudanais (MPLS), au au Sud-Soudan, comme fondamentalement sudiste et donc étranger à de demain. Or, le MPLS est plus qu'un [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] parti sudiste. Il a des bases très fortes dans le Nord, comme dans les monts Nouba. De la même manière, tous les gens ethniquement sudistes, mais nés dans le Nord sont aujourd'hui dans une situation très difficile : [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Khartoum veut s'en débarrasser et ils ne sont pas forcément les bienvenus au Sud-Soudan.
Pensez-vous que les négociations ont une chance d' avant [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour.co.uk[/url] l'indépendance formelle du Sud-Soudan, prévue pour le 9 juillet ?
Sur la question d'Abyei, un référendum aurait d? lieu en 1972, avec les premiers accords de paix après la première insurrection au Sud-Soudan. Lorsque les négociations ont repris en 2002, le MPLS a exigé que ce référendum soit enfin tenu. Une commission devait même être créée pour délimiter les frontières de cette région. Il y a eu un accord générique sur ces propositions, mais dès que l'accord global a été signé en janvier 2005, les problèmes ont commencé. La commission d'experts a rendu un rapport, refusé par Khartoum, qui a ensuite joué la montre.
Il y a également la question de la fixation des frontières. Abyei en est le [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] cas le plus symbolique mais d'autres zones sont disputées. Personne n'a voulu négocier sur le fond avant la tenue du référendum d'auto-détermination de janvier 2011. La communauté internationale était occupée ailleurs et les [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] deux pouvoirs savaient que cette négociation allait être très difficile.
Comment expliquez- la reprise des [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] combats depuis quelques semaines entre Khartoum [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] et le Sud-Soudan ? Peut-on une reprise de la guerre civile ?