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De tous les présidents de la Ve République, M. Hollande est, après , celui qui est devenu le plus impopulaire après six mois de mandat. Selon les dernières enquêtes, réalisées entre le 6 et le 10 novembre, environ 40 % des Fran?ais sont satisfaits de lui (39 % selon CSA, 41 % selon Ipsos et 44 % selon BVA). Après un semestre à l'Elysée, seul M. Chirac faisait moins bien (28 % de satisfaits, d'après l'IFOP). Fran?ois Mitterrand, Valéry et faisaient un peu mieux. Charles de Gaulle et , eux, étaient nettement au-delà : à ce [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] moment [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] de leur mandat, l'un comme l'autre pouvaient se prévaloir de 55 % des Fran?ais, selon l'IFOP.
Le deuxième élément positif est, paradoxalement, l'absence d'un sursaut d'espoir au moment de la présidentielle. "Il y a une déception, certes, mais pas non plus un sentiment de trahison ou de parjure. En cela, les choses ne sont pas irrécupérables pour Hollande", rappelle M. Rivière.
VISIBILIT? ET LISIBILIT?
Dans ce contexte, que ? D'abord , c'est-à-dire que [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] les décisions prises, notamment dans le domaine fiscal, n'obéreront pas le d'achat. Ensuite : le 9 septembre, Fran?ois Hollande présentait sur TF1 son "agenda du redressement". Or "de la potion, les Fran?ais ont principalement retenu l'amertume", rappelle Emmanuel Rivière. Deux mois plus [url=http://www.sclwsp.com/bbs/ShowPost.asp?ThreadID=62416]abercrombie soldes Le froid intense sinstalle sur[/url] tard, le président doit leur qu'elle peut par [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] se révéler magique.
A l'augmentation du ch?mage s'ajoutent les hausses d'. Cumulés, les deux phénomènes rejaillissent inévitablement sur la popularité de l'exécutif, comme le rappelle , directeur d'études chez CSA.
Deux autres facteurs s'ajoutent, cependant, pour les mauvais chiffres du président. Le premier est [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] l'extrême bipolarisation de l'opinion. Elle [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] s'est installée dès le début du quinquennat : l'électorat de droite est aujourd'hui beaucoup plus mobilisé contre Fran?ois Hollande que ne l'était l'électorat de gauche contre il y a cinq ans. "A l'automne 2007, 25 % des sympathisants [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]jordan pas cher Montebourg g[/url] de gauche soutenaient Sarkozy. Aujourd'hui, moins de 10 % des sympathisants de droite approuvent Hollande", rappelle Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'IFOP.
aura en tête les mauvais chiffres et les moins mauvaises courbes : les premiers lui rappelleront qu'il est impopulaire, les secondes qu'il a peut-être une chance à s'il veut la tendance.
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Le deuxième facteur est la déception croissante qui se manifeste au sein de l'électorat qui a voté au premier tour pour Fran?ois Hollande. "Une majorité de ces électeurs de premier tour continuent de lui confiance, mais les inquiétudes grandissent", observe Yves-Marie Cann. Celles-ci se nourrissent à la fois d'une impatience et d'une incompréhension. "Les électeurs de Fran?ois Hollande attendent des décisions et veulent en le sens. Il y a un problème de visibilité et de lisibilité", ajoute M. Cann.
Le premier est son image personnelle. Dans l'ensemble, elle reste bonne. "Il n'y a pas de colère vis-à-vis de lui comme il pouvait y en contre Jacques Chirac en 1995. Il y a encore une majorité de Fran?ais qui l'estiment proches de leurs préoccupations", rappelle ainsi Frédéric Dabi. De ce point de vue, la hausse de la TVA annoncée récemment est per?ue très différemment de celle de l'automne 1995. "La mesure est impopulaire, mais les Fran?ais n'ont pas, à ce stade, l'impression d'un reniement, comme c'était le cas [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] avec Jacques Chirac en 1995", ajoute-t-il.
"Fin 2007, on était dans une période de redistribution, avec des allègements fiscaux. Cinq ans plus tard, on est dans une période de contribution, avec des imp?ts qui augmentent. Parenthèse enchantée d'un c?té, crise durable de l'autre : la noirceur du contexte explique pour une bonne part la faible popularité de Fran?ois Hollande aujourd'hui", précise Yves-Marie Cann.
Après un fort [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] décrochage cet été, les courbes de popularité du président sont aujourd'hui plus horizontales. [url=http://www2s.biglobe.ne.jp/~lethal/i-no/cgi-bin/joyful/joyful.cgi]hollister outlet sale Parrots[/url] Si certains instituts continuent de un effritement (c'est le cas d'Ipsos et de CSA), d'autres en [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] revanche décèlent une stabilisation (BVA). Politiquement, le moment est donc opportun pour les jalons d'une reconquête. Pour cela, Fran?ois Hollande peut s' sur plusieurs leviers.
Plusieurs facteurs expliquent les [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] mauvais chiffres de M. Hollande. L'un, cependant, domine tous les autres : le ch?mage, dont ère, directeur du [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] département opinion chez TNS Sofres, rappelle qu'il est "un élément structurel lourd corrélé à la popularité des présidents". A l'automne 1995, le ch?mage remontait, dépassant les [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] 10 % de la population active : M. Chirac en paya le prix. A l'automne 2007, le ch?mage baissait, se rapprochant des 7 % : M. Sarkozy en profita. Depuis quinze mois, le ch?mage augmente à nouveau, atteignant désormais 10 % de la active. "Dans ce contexte, la défiance vis-à-vis du chef de l'Etat n'est pas étonnante", souligne Emmanuel Rivière.