Guardians of Grail

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Alain Giresse, héros girondin de la campagne 85, relativise également le r?le de ce passé. "Notre aventure européenne reste présente à Bordeaux. Cela fait partie du patrimoine du club qui s'est construit et développé sur ces bases. Mais je ne crois pas que les Girondins [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] puissent en un quelconque avantage concrètement sur le terrain mardi soir", analyse-t-il. Pour l'ancien milieu de terrain, Lyon et Bordeaux sont en effet très proches [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] l'un de l'autre. "Bordeaux est en avance en championnat et domine depuis deux ans. Lyon a été sublime en Ligue des champions cette saison où il trouve [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] des valeurs et des vertus différentes. Et puis, le fait de une équipe fran?aise et de se conna?tre parfaitement ne va-t-il [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pas tout cela ?", s'interroge .
Si l'effectif actuel de l'OL [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] compte 324 matches européens et celui de Bordeaux 164, , très influent du président Aulas, n'en tire aucune conclusion. "C'est la fra?cheur athlétique qui va . On a vu au tour précédent [url=http://www.qxxx.pte.sh.cn:8080/wygkcn_GuestBook.asp]hollister[/url] contre le Real que l'expérience avait ses limites", explique-t-il. Thierry Vautrat, journaliste à Sud-Ouest, n'est pas impressionné par "la réussite de l'OL" en Ligue des champions ; le club "n'a jamais dépassé les quarts". Il se montre même confiant : "Bordeaux ne craint pas Lyon. Les Girondins ont prouvé désormais en et lors de la finale de la Coupe de la Ligue 2007 qu'ils savaient les Lyonnais."
OUBLIER [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=110854464629]giuseppe zanotti pas cher Mit[/url] LE C?T? "COUPE DE FRANCE"
UNE EXP?RIENCE EUROP?NNE COMPARABLE
Bordeaux [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] peut, lui, s' sur son glorieux passé avec l'épopée de 1985 et cette fameuse demi-finale perdue face à la Juventus (0-3, 2-0). "Avant l', on avait disputé sept matches en vingt et un jours. On était cuits. Au retour, on a failli la situation, cela s'est joué à rien", se souvient le [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] lyonnais Bernard Lacombe, ancien joueur bordelais. Mais surtout, les Girondins possèdent le meilleur bilan de l'édition en [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] cours. Les joueurs de Laurent Blanc ont remporté sept de leur huit matchs. Ils se sont payés le d'éliminer la Juventus et de le dans les poules. Elément de fierté et de patrimoine, le passé historique, respectable, de chacun des deux clubs n'a cependant rien de décisif.
"En 1985, la formule de la Coupe d' était totalement différente, avec moins de clubs. Et puis, actuellement, le deuxième club espagnol ou le troisième club anglais est plus fort que le [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] champion de Tchécoslovaquie ou de à l'époque", tempère, [url=http://bbs.ecbs.cn/read.php?tid=184034&displayMode=1]nike air jordan pas cher Le cheval de Caligula, par Rémy Prudhomme[/url] quant au passé bordelais, Antoine [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] Osana, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] journaliste au Progrès de Lyon. Avant de surenchérir sur l'histoire européenne de l'OL cette fois-ci : "Même si Lyon a déjà participé à trois quarts de finale récemment (perdus face à Porto en 2004, le PSV en 2005 et Milan en 2006), des joueurs majeurs comme Juninho, Coupet ou Essien sont partis et il faut donc un éventuel bénéfice d'expérience."
Plus que le palmarès ou l'expérience, la clé de ce quart de finale européen pourrait bien résider dans la propension de chacune des deux équipes à en le caractère particulier, le c?té "Coupe de France" comme le souligne, amusé, Alain Giresse. Si les Anglais, les Espagnols et les Italiens ont l'habitude de ces rencontres particulières au plus haut niveau européen, Lyon et Bordeaux inaugurent ce duel fratricide. Rien d'illogique pour les deux meilleurs clubs fran?ais des dix dernières années. L'élimination lyonnaise par les joueurs de ajouterait à coup s?r une ironie amère à la déception du club de . Duel européen en forme de bataille décisive pour la suprématie nationale, la motivation semble toute trouvée pour l'OL et les .
le mardi 30 mars. Aujourd'hui, retour sur le palmarès et l'expérience européenne des deux clubs.
A l'aube d'un premier affrontement franco-fran?ais en Ligue des champions, l'examen du passé historique européen des deux équipes constitue un passage obligé. Lyon peut se d'une régularité impressionnante en Ligue des champions ces dernières années (10e participation d'affilée, 4e quarts de finale). Hormis l'aventure monégasque en 2004, l'OL a porté sur ses épaules ces dernières années, presque de fa?on hégémonique, les chances fran?aises dans la prestigieuse compétition. Exploits et déceptions jalonnent l'histoire récente du club lyonnais : le doublé de Govou face au Bayern (2000-2001), les victoires flamboyantes face au ou encore les éliminations dramatiques en quarts face au PSV (2005) et au Milan AC [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] (2006).