Guardians of Grail

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« J’aime les hommes qui savent pleurer ! ». Le célèbre photographe Yann Arthus-Bertrand serre dans ses bras un des héros de son prochain « Vu du ciel ». Séquence émotion, sous le regard des caméras. ? coup s?r, un temps fort de l’émission programmée le 16 juin, à 20 h 30, sur France 3. Le héros, c’est Patrice [url=http://www.agentparadise.com]woolrich sito ufficiale[/url] Longour, fondateur de la réserve biologique de Thorenc, dans [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] le haut-pays grassois. Producteur et réalisateur sont aux anges. L’ingénieur du son devra se contenter d’un lourd silence... Les yeux embués, la gorge nouée, leur h?te reste muet. [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] Yann voulait simplement savoir si ce dernier avait rencontré des difficultés, des oppositions pour réintroduire l’animal vedette de [url=http://www.hebeigayz.com/E_GuestBook.asp]barbour Un[/url] sa réserve préalpine. Et non des moindres : le bison. Manifestement, la réponse aurait d? être... «Hélas, oui ».
Aujourd’hui, le pari [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] est gagné... «Tu sais, Patrice, j’aime aussi les hommes qui se battent jusqu’au bout pour réaliser leur rêve » lance, réconfortant, Yann Arthus-Bertrand. [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] Le ton est donné, le courant passe entre les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] deux amoureux de la nature... Le cours du tournage peut reprendre, dans le cirque [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] majestueux des montagnes de Thorenc.
Un grognement sourd se fait entendre... Retour à la réalité. Il faut prendre garde ! L’équipe de tournage [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] est à quelques pas du troupeau de bisons. Et d’une femelle, couvant son bébé d’un jour à peine et déjà ingambe. Prête à charger s’il fallait le défendre...
« Ces bisons sont de souche européenne. Ils viennent de Pologne. En France, entre le VIIIe et le Xe siècle, ils vivaient encore à l’état naturel, mais l’homme a pris le dessus. La chasse, les activités agricoles, ont repoussé les bisons vers l’Est. »
La « Réserve biologique des Monts d’Azur » et ses 700 hectares constituent un petit paradis de la biodiversité. Bisons, mais [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] aussi biches, cerfs, ou sangliers s’y partagent un asile dans lequel se mélangent également des chevaux de Przewalski. « L’une des sept espèces encore sauvages au monde, que l’on trouve toujours à l’état naturel entre l’Allemagne et la Chine septentrionale...» Patrice Longour les a récupérés dans des zoos. La raison de leur présence dans son bio-sanctuaire ? « Bisons et chevaux [url=http://www.cxjs-edu.net/E_GuestBook.asp]barbour Le[/url] sont [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] un bienfait pour les prairies, car les premiers mangent les sommités et les seconds [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] rasent l’herbe. Gr?ce à cette double action, des espèces végétales réapparaissent ».
L’Afrique comme modèle
Ancien vétérinaire, le directeur du parc a baroudé pas mal en Afrique au bénéfice d’associations de défense de la nature : « Là-bas, les animaux vivent ensemble. Il n’est pas surprenant de voir un berger Massa? faire boire son troupeau au milieu des éléphants. J’ai voulu reproduire ici le même modèle. » Ce rêve devenu réalité, Patrice [url=http://www.aox.jp/Cgi-bin/jik/clip2/clip.cgi?mode=admin]hollister sale Une tentative [/url] [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry outlet[/url] Longour l’a confié à cet autre combattant pour l’environnement qu’est Yann Arthus-Bertrand. Avec l’espoir tenace qu’on puisse, un jour en Europe, laisser une partie de la nature à l’animal sauvage, en acceptant d’en payer le prix...