Guardians of Grail

zekjhiryyh

Je ne propose pas d' les dépenses (les 52 %), mais au contraire d' les recettes. La première augmentation à laquelle il faudrait procéder, je viens d'en , concerne le régime de protection sociale, et donc les cotisations de retraite et d'assurance-maladie. Ce ne sont pas des imp?ts.
Jean Peyrelevade : Le système de protection sociale fran?ais, basé sur la répartition, est une gigantesque mutuelle. Quand les dépenses d'une mutuelle sont supérieures à ses recettes, on procède à un rappel de cotisations. La hausse des cotisations retraite et assurance-maladie est incontournable. On ferait mieux de la vérité aux Fran?ais. [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]www.teatrodeoro.com/hollisterde.php[/url]
Or avez-vous déjà entendu un homme politique vous , ce qui est pourtant vrai, que les marges des entreprises fran?aises sont les plus faibles de toute l', donc nous perdons peu à peu ce qui nous reste de compétitivité, faute d'investissements.
Achille: Le Crédit lyonnais se serait comporté avec toute la transparence requise envers Bernard Tapie ?
Vous avez raison, les classes [url=http://www.shmingzhushiye.com/bbs/home.php?mod=space&uid=7721][/url] favorisées ont bénéficié de multiples réductions d'imp?ts, ce qui, dans notre situation budgétaire, est condamnable, et à l'autre extrémité, les exclus vont bénéficier du RSA, après la prime pour l' de Lionel Jospin. Ce qui me para?t plut?t une bonne chose.
Jean Peyrelevade : Bien s?r que non. Mais pour ce que l'on amène ou ce que l'on demande à chaque classe sociale, il faut le cadeau fiscal qui lui est fait ou le prélèvement auquel on la soumet à son revenu.
Jean Peyrelevade : La difficulté est que, dès que le budget est lourdement déficitaire, toute mesure nouvelle doit être financée par une ressource affectée.
dupond : L'Etat prélève déjà 55 % de la richesse annuelle produite, et vous parlez d' les ! Ne faudrait-il pas plut?t des économies en baissant de 30 % les effectifs de la fonction publique ?
julienmercadal : Pensez-vous vous présenter à de prochaines élections sous l'étiquette MoDem ???
En un mot, a changé les freins et la suspension de la voiture, mais nous avons toujours un moteur de 2 CV.
NEUFVILLE : Que pensez-vous de l'extension des bonus-malus à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] d'autres produits que les automobiles afin d' le consommateur à une démarche plus écologique ?
Dit autrement, ce n'est pas parce que je suis au MoDem aujourd'hui que j'ai rédigé ce livre, c'est l'inverse. C'est parce que j'ai les qui sont exprimées dans ce livre que j'ai rejoint .
La durée effective du travail est bien renvoyée au dialogue entre partenaires sociaux, mais en continuant à de manière centrale une rémunération majorée de 25 % pour les heures supplémentaires et en y ajoutant l'exonération d', Nicolas Sarkozy augmente le co?t réel du travail au-delà de 35 heures.
Jean Peyrelevade : C'est déjà fait, j'étais candidat aux élections à Paris. Pour les
prochaines, c'est un sujet que je n'ai pas abordé pour l'instant, ni de près ni de loin, avec Fran?ais Bayrou.
Jean Peyrelevade : que le politique, quel qu'il soit, peut, par une action à court terme, d'un demi-point ou d'un point de plus le taux de croissance du pays est une illusion bien fran?aise.
Il n'y a aucune excuse admissible à l'envahissement des bilans de [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] banques européennes par du papier subprime d'origine américaine.
fly : En toute objectivité, pensez-vous que la victoire de Bernard Tapie dans l'affaire Crédit lyonnais (dont vous êtiez PDG) soit justifiée ?
L'action de politique économique a besoin de temps pour être [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] efficace, de temps et de cohérence. Je pense que Nicolas Sarkozy manque de cohérence et ignore la durée.
Je persiste à que l'ensemble des mesures prises par Nicolas Sarkozy [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] a profité en volume davantage aux classes favorisées qu'aux classes moyennes.
La responsabilié des banques dans la crise financière est clairement engagée. Non pas comme acteurs principaux du crime, qui est commis d'abord aux Etats-Unis et qui est le résultat d'une déplorable régulation des activités de crédit dans ce pays, mais comme complices de la propagation des dég?ts.
Le payeur est alors explicitement désigné, ce qui provoque de sa part une réaction de refus bien compréhensible. En outre, il est désigné à l'ensemble de l'opinion publique comme ayant été jusqu'alors privilégié.
Achille : En quoi les 60 réformes accomplies ou mises en chantier ne constituent pas une rupture avec les doses homéopathiques antérieures quand il n'y avait pas, tout simplement, renoncement ?
Contrairement à ce que disent la plupart des hommes politiques, nous n'avons pas [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] besoin de moins de capital, mais de plus de capital. Pour , il faut que les entreprises en aient les moyens. C'est-à-dire, affirmation très impopulaire en France, qu'elles [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] aient les marges suffisantes.
Je serais ravi de économie avec les spécialistes du PS. Mais il faudrait me leur adresse.
Jean Peyrelevade : Beaucoup des réformes faites sont utiles, voire importantes. Mais aucune ou presque ne porte sur le problème essentiel de l'économie fran?aise : la perte de compétitivité de notre appareil productif.
integrateur2000 : Que pensez-vous de la responsabilité des banques dans la ? On vient d' la nationalisation des Freddie Mac et Fannie Mae aux Etats-Unis. Faut-il renationaliser une partie des institutions financières en France ?
Jean Peyrelevade : Ce n'est pas nécessairement une mauvaise mesure, mais elle est gravement insuffisante. Ici encore, on veut plaisir à tout le monde. On ne fabriquera pas une économie écologique sans des ressources nouvelles. La fiscalité écologique ne peut donc pas être à solde nul.
Jean Peyrelevade : Dans une économie développée, pour être compétitif, il faut , de nouveaux produits, développer la recherche, des machines, des automatismes partout. En un mot, il faut .
eric34 : Comment définissez-vous classe moyenne ? Les bénéficiaires des heures sup', c'est la classe favorisée ? Un couple d'enseignants qui bénéficie de la réduction d'imp?t sur les intérêts d'emprunt fait-il partie de la classe supérieure ?
Jean Peyrelevade : Je vais répondre de manière provocatrice : oui, certainement, mais elles ne l'ont pas été.
Jean Peyrelevade : Vos chiffres sont légèrement inexacts. Les dépenses publiques, y compris la Sécurité sociale, se montent effectivement à 52 ou 53 % du PIB, mais les prélèvements obligatoires ne sont qu'à 44 ou 45 %. Le déficit doit être absolument comblé si l'on veut que l'Etat redevienne efficace.
PhB : Qui aujourd'hui porte ou peut un projet économique crédible alternatif à celui de l' ? Le PS ? Le MoDem ? Une alliance des deux ?
julienmercadal : Le de votre livre me semble légèrement excessif et peu en rapport avec ce que vous nous dites sur la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] politique économique du gouvernement ??? Derrière ce livre, est-ce l'économiste réputé et qualifié ou le proche de Bayrou qui parle ???
Jean Peyrelevade : Je ne pense pas que ce soit nécessaire en France. Les banques fran?aises ont été touchées par la crise des subprimes, certaines de manière importante, ce que je regrette. Mais pas au point de l'objet d'une opération de renflouement par la puissance publique.
Jean Peyrelevade : Parce que comme il ne fait pas grand-chose qui permette à l'appareil productif d'être plus compétitif, notre taux de croissance va à , et que le d'achat évolue très exactement au rythme de la production. Si on produit moins, on a moins de d'achat.
HaySky : Pensez-vous que Delano? (s'il est élu par le PS) pourra détr?ner Sarkozy en 2012 ? Ferait-il une meilleure politique économique que Sarkozy, selon vous ?
En outre, je rappelle une fois de plus que c'est le budget de l'Etat, et donc l'ensemble des contribuables, qui paient le surco?t [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] des heures supplémentaires.
Je ne pense pas que le mal fran?ais relève de l'accumulation de recettes ponctuelles. Il faut le moteur de la voiture, tout le reste est accessoire.
francoarmenien : Derrière le slogan de Nicolas Sarkozy, qui pr?nait "la rupture", ne faut-il pas la mise en ?uvre d'une politique qui accentue les disparités sociales, en favorisant la France d'en haut contre la France d'en bas ?
Mais entre les deux, c'est la grande masse des classes moyennes qui est la seule à le poids de ces .
oups : Qu'allez-vous leur ?
En tout cas, il devrait son dentiste : ses dents ne sont pas efficaces...
Jean Peyrelevade : Je pense surtout que la [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] politique de Nicolas Sarkozy va désespérer les classes moyennes.
dod : Les 35 heures valaient-elles d'être démantelées ?
du chef de l'Etat et sur l' dans un chat au Monde.fr, lundi 8 septembre.
Je me suis demandé s'il y avait le moindre désaccord où que ce soit entre lui et moi, et j'ai gardé son texte, que j'ai d?ment annoté. Je ne suis donc pas le seul à un regard critique, même si, bien entendu, comme il est normal en démocratie, la forme de la critique est différente.
Jean Peyrelevade : Je ne pense pas que cette victoire soit justifiée, et je m'exprimerai sur ce sujet mercredi matin à la commission des de l'Assemblée nationale.
Une dernière remarque pour nos amis UMP – et il y en a s?rement, ce qui est bien normal – : je leur recommande vivement de la dernière interview d'Edouard Balladur sur la situation économique de la France dans un grand journal du soir.
julienmercadal : Ne pensez- pas que réformer tout en diminuant le déficit public est tout bonnement impossible dans une période de faible croissance ???
Il est absolument anormal que sur un budget de plusieurs centaines de milliards d'euros on soit incapable de dégager 1,5 milliard de ressources. Ce n'est donc pas le de financement qu'il faut , mais la situation budgétaire.
Romain : Quel financement proposeriez-vous pour le RSA ? [url=http://www.fan.hi-ho.ne.jp/cgi-bin/user/abeshi/aska.cgi]www.mxitcms.com/abercrombie/ [/url] Le financement actuel est dénoncé comme injuste puisque touchant exclusivement les classes moyennes (le bouclier fiscal protégeant les hauts revenus).
Roro75 : Comment réduire la dette publique sans les acquis sociaux des Fran?ais ? Avez-vous la solution ?
A mon ?ge, on ne se rase plus le matin en rêvant d'un destin, et je ferai donc très exactement ce qu'il me demandera.
bree : Sarkozy disait qu'il allait la croissance "avec les dents". Aujourd'hui, le risque de récession n'est pas nul. Que s'est-il passé ?
Jean Peyrelevade : Je vais me de un . En 1986, j'ai négocié pour le compte de l'Etat l'arrivée de Disney en France. Cela a fait l'objet d'un accord entre l'Etat fran?ais et Disney. Disney a refusé qu'en cas de litige ce soit la fran?aise qui tranche, et a exigé une clause d'arbitrage. On m'a expliqué à l'époque que l'Etat ne se soumettait jamais, par principe, à l'arbitrage, sauf en cas d'accord .
modemration_1 : En quoi vos critiques et remèdes diffèrent-ils de ceux d'Attali ?
Jean Peyrelevade : Est-ce que vous l'avez lu ? Je tiens à vous , le cas échéant. Quand j'ai commencé à rédiger ce livre, en septembre 2007, je n'étais même pas adhérent du .
Jean Peyrelevade : Non, je ne pense pas. Nicolas Sarkozy continue à des dépenses nouvelles. Pourquoi ne sont-elles pas affectées en priorité à l'investissement mais, au contraire, à d'améliorer le d'achat, ce qui est une illusion si la production de richesses elle-même n'augmente pas.
Jean Peyrelevade : [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Je ne peux que sur pièces. Je n'ai pour l'instant aucune idée de ce qu'est la pensée économique de Bertrand Delano?. Je serais d'ailleurs heureux que vous m'éclairiez.
Pour la construction de Disneyland, il a fallu passer devant le Parlement une loi particulière autorisant de manière exceptionnelle, et parce que Disney était une société étrangère, le recours à l'arbitrage.
Jean Peyrelevade : Je le crois, mais j'en profite pour que je [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] n'étais pas président du Crédit lyonnais au moment de la revente d'Adidas.
Jean Peyrelevade : Jacques Attali fait de l'impressionnisme là où j'essaie de un tableau d'ensemble.
Je ne pense pas que ce soit une bonne réforme que de les Fran?ais qu'il faut qu'ils travaillent davantage en faisant la majoration par l'Etat.
lou : Pourquoi nos ne sont toujours pas compétitives, au regard de notre déficit commercial notamment ?
Jean Peyrelevade : Pour l'instant, vous allez me extrêmement vaniteux, donc je vous présente par avance toutes mes excuses, je pense [url=http://www.678hgxjw.com/home.php?mod=space&uid=0][/url] que le succès de mon livre est aussi d? au fait qu'il est seul dans sa catégorie.
free : Pourquoi, selon vous, Sarkozy échoue-t-il à être le président du d'achat comme il l'avait promis ?