Guardians of Grail

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Frisson, excitation
C'est autour d'elle que Gallotta papillonnait alors, vibrionnait, l'obligeant à des issues nouvelles à ses arabesques pour échapper à son emprise. C'est dans ce [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] pas de deux, puis de trois, évidemment sexuel, sans cesse [url=http://www.icec.cn/home.php?mod=space&uid=16684][/url] déplacé d'un bout à l'autre du plateau, et toujours dans la course, que la gestuelle "gallottienne" a pris son envol, conservant ce taux de vie qui lui donne sa saveur.
Et quelle odeur ! Jamais on n'a autant respiré les corps que dans ce Daphnis é Chloé. Rarement on a humé en direct l'haleine, la sueur, le trac, la débauche d'énergie. l'autre, c'est le , ?a et le à la trace. Sur les ruissellements musicaux d', Daphnis [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] é Chloé distille une essence enivrante, celle de la confiance en l'amour.
Faut qu'je danse ! Le de ce nouveau solo de Gallotta, présenté lundi 18 avril, prélude à la reprise de Daphnis é Chloé (1982), transmis à trois jeunes danseurs, ne ment pas. Il y a le feu dans les gambettes, la pression dans la tête, l'excitation dans les prunelles qui voltigent derrière les [url=http://www.sfs7.com/szsoufang/forum.php?mod=viewthread&tid=178915&fromuid=1024]nike air jordan pas cher How To Get The Correct Contact Lenses[/url] lunettes. Lorsqu'il ne bruite pas son geste comme à son habitude - cris d'oiseau, claquements de langue, bribes de sa langue maternelle italienne -, Gallotta se souvient en s'accrochant à des pense-bêtes. de la création au début des années 1980 de Daphnis é Chloé avec , complice de toujours, et , longtemps interprète fétiche de la compagnie.
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Et hop !, Les trois personnages inspirés de la mythologie grecque s'entrecroisent au petit [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] galop en jouant à l'élastique [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] avec le fil de leurs désirs. Et c'est non seulement superbe du point de vue de [url=http://bbs.laoren.cn/home.php?mod=space&uid=75875][/url] l'écriture - mention spéciale aux nouveaux [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] venus, , [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] , [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] Sébastien Ledig -, mais très émouvant dans sa capacité à en scène la beauté et le trouble de l'autre.
, 61 ans, a surgi sur le plateau du Thé?tre des Abbesses, à Paris, et c'est reparti pour un tour. A l'attaque et fouette ! Micro à la main droite pour mieux la gauche écrire des points de suspension dans l'air, le lutin [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] des années 1980, en pantalon et pull [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] noirs, reste un éternel jeune homme. La houppette de cheveux a le poil plus clair mais la silhouette est toujours découpée dans la nervosité et l'inquiétude, la jouissance aussi.
"Faut qu'je danse-Daphnis é Chloé" de Jean-Claude Gallotta. Thé?tre des Abbesses, 31, rue des Abbesses, Paris 18e. Mo Abbesses. Jusqu'au 30 avril. A 20 h 30 ; samedi 30 avril, à 15 heures. Tél. : 01-42-74-22-77. De 15 ? à 28 ?.
La liberté joyeuse avec laquelle Gallotta a écrit ce scénario de l'irrésistible attraction des corps donne une claque. Chloé, Daphnis et Pan se trouvent à leur go?t et profitent de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] leur chance en dansant. Ne pas le plus court chemin pour une belle histoire pourrait être l'objectif secret de ce spectacle sincère et vulnérable comme surpris par l'amour.
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Ce qui frappe et réjouit aussi quand on redécouvre cette pièce emblématique de Gallotta mais aussi de la danse contemporaine fran?aise, c'est de vérifier combien la singularité du corps du chorégraphe a signé l'originalité de son . Le [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] frisson, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] l'excitation et la maladresse de Gallotta, passé par des études d'art, a parasité la ligne classique donnée par Mathilde Altaraz.