Guardians of Grail

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Qu'on le veuille ou non, avec cette victoire des Bleus, le football a créé un moment historique, un moment emblématique pour la société fran?aise. On n'avait pas connu un telle ivresse populaire depuis [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] la libération de Paris. Mais elle a également été l'objet d'une récupération politique avec l'effet "Black, Blanc, Beur".
La première partie de l'exposition revient en effet sur l'origine anglaise du foot et sur sa diffusion progressive en France. Le football traverse la Manche avec les Britanniques, de passage ou définitivement installés en France. Il ne faut pas que c'est l'immigration anglaise qui est à l'origine [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] du premier club de foot en France. Ce sont les pionniers. L'élite fran?aise, partie étudier en Grande-, poursuit ensuite le processus. En fait, c'est un double mouvement.
L'exposition revient sur les différentes générations de l'équipe de France, toutes marquées par des figures emblématiques issues de l'immigration. On y retrouve notamment la génération Kopa, emblématique de l'immigration polonaise des années 1950. A travers cette génération, mais aussi celle de [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]Jordan[/url], de Platini et de Zidane, on est sur l'analyse de la composition de l'équipe de France. On rejoint, par le biais de cette composition, l'immigration industrielle. Finalement, l'équipe de France n'est qu'un reflet en décalage des différentes vagues d'immigration, avec les Italiens, les Polonais...
Ce que vous essayez de , c'est qu'on devrait finalement le foot, et le en général, à sa place ?
On ne devrait [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] pas au football ce qu'il ne devrait pas . Dès les années 1930, on avait cette diversité au sein même de l'équipe de France. Mais à cette époque, on ne s'en servait pas comme d'un message politique. Au lieu d' l'immigration comme un problème, on pourrait la comme un apport, comme quelque chose qui a nourri la France. C'est ce que nous voulons à travers cette exposition. de conscience aux gens que l'on n'a pas qu'une identité mais plusieurs, et que ces identités peuvent être compatibles, à l'image d'une équipe de foot.
", chants de supporteurs et Marseillaise accompagnant le visiteur sur [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] son chemin, l'exposition met en scène les apports des joueurs d'origine étrangère au sein des clubs fran?ais et de l'équipe de France. L'occasion pour Fabrice Grognet, commissaire de l'exposition, d' également les r?les sociaux du football, réels ou proclamés.
: Il y a un peu plus d'un an, alors que nous étions en pleine réflexion sur la programmation de la Cité, nous nous sommes dit que cette 2010 pouvait être une belle opportunité pour nous de d'une manière thématique le rapport entre football et immigration. L'occasion de de l'immigration d'une manière originale et de cette thématique très complexe à travers la pratique du foot.
Parce [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] que le championnat de France est le reflet de la société fran?aise. L'objectif de cette scénographie était de cette immigration à la logique sportive liée à la professionnalisation du championnat. en avant les ouvertures et fermetures successives de ce championnat. Ces onze "totems", comme nous les appelons, reprennent les parcours de vie de onze joueurs étrangers qui ont évolué en France. Mais nous voulions au-delà de leur carrière sportive et ce qu'ils ont pu à notre pays. On revient par exemple sur un certain Guomundsson, qui a connu dans les années 1950 une carrière au [url=http://hxgat.com/E_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] Racing Club de Paris et qui va dans la vie après en devenant ambassadeur d' à Paris.
Comment est née cette idée d' la thématique de l'immigration [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] à travers l'histoire du football ?
Ce que vous essayez justement de dénoncer...
Nous donnons la paroles aux acteurs mêmes, c'est-à-dire aux joueurs, qui ne se sont finalement jamais reconnus dans ce modèle-là. Ce mouvement "Black, Blanc, Beur", ils ne le revendiquaient pas mais le vivaient de fait. C'était avant tout ce que la société voulait au football. Une époque où on a voulu en exemple le modèle fran?ais d'intégration de l'immigration.
Pour cela, remontez aux origines [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] mêmes [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] de la discipline...
Un écran géant diffuse également des images du match France- de 1998. [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] Vous ne pouviez pas à c?té ?
Cette première partie s'articule autour de dates clés, avec 1932 comme point final, pourquoi ?
De Pauleta à en passant par Juninho, onze portraits de joueurs étrangers tr?nent au milieu d'un terrain reconstitué. Pour quelles raisons ?
Nous sommes à cette époque dans le débat entre [url=http://www.dhswj.gov.cn/E_GuestBook.asp]barbour An[/url] amateurisme et professionnalisme. Nous voulions justement en exergue la place de l'étranger dans ce débat, car il n'est pas [url=http://www.dadihuwai.com/home.php?mod=space&uid=52622][/url] envisagé en tant que tel mais en tant que porteur du professionnalisme. Les joueurs recrutés à l'étranger étaient des professionnels déguisés, des "amateurs marrons" comme on [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] disait. Toute l'ambigu?té [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] était de combien il en fallait ? Jusqu'à quel point fallait-il les dans les effectifs ? A [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] cette époque, il s'agissait essentiellement de joueurs anglais et suisses.
Et après le championnat de France, l'équipe de France...